Il tournait l’urne qui recevrait ses cendres.
Sa conscience était intacte.
Il savait la trace, le feu, le sable, la poussière.
Il portait en lui l’éblouissement
du volcan, la dureté de la pierre et l’odeur étourdissante de la vague qui se fracasse.
marcher, mettre ses pas dans ceux-là d'avant, l'amenait au bord de ce qu'elle avait entrevu dès lors que les lunes grandes et pleines et blanches soulevaient d'une incroyable manière des marées gigantesques.
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